Robots pour Mars
1 - Le robot-souris ou robot-sphère

Tout le monde a sûrement vu un jour une souris dans une cage, tournant désespérément dans un tambour. 
Si vous décrochez le tambour et le posez par terre, avec la souris dedans, il continuera d'avancer, en roulant.
Imaginons maintenant la souris comme un moteur et le tambour comme une sphère !

C'est le début de mon raisonnement.

Imaginons une sphère à la place du tambour. Le premier problème qui se pose comme d'habitude, est celui de l'énergie. Pour celà, il faut que la sphère soit recouverte de panneaux solaires, sur la même base qu'un ballon de foot-ball. 
Sur les parois internes de la sphère, il faut installer une roue crénellée (tambour), sur laquelle un moteur est accroché pour la faire tourner (comme la souris fait tourner sa roue).
Lorsque le moteur avancera, la sphère se déplacera vers l'avant ; s'il fait marche arrière, l'ensemble se déplacera vers l'arrière ; s'il s'arrête, l'ensemble s'arrêtera immédiatement. Le moteur sera piloté par ordinateur.
Il faut installer des stabilisateurs lattéraux (gauche et droite) sur le moteur, à l'image des mrins sur les bateaux à voile en mer.

Avantages de ce robot-sphère !

Tout le monde se souvient surement du premier accident de ROKI (robot qui a déjà traîné sur Mars) avec une pierre. Notre robot-sphère sera d'une dimension optimale, il pourra donc plus facilement franchir tous les obstacles.

Charge utile

Lorsque je regarde une expérience comme celle du robot-serpent pour aller sur Mars, je me demande quelle place y est réservée pour la charge utile !
Il est essentiel qu'un tel appareil puisse transporter des objets divers, du matériel scientifique... le robot-sphère permet, dans sa partie centrale, de stocker tout ce dont on a besoin.
 

Robot 



 

2 - Le robot-hérisson

Le robot-hérisson fonctionnera sur des électro-aimants, il imitera bien la marche humaine.